Nous reproduisons ci-dessous le mail reçu de Philippe Oswald et intitulé "protestation indignée" :
"Consterné par l’entreprise de désinformation (courageusement anonyme) de votre blog, je prends néanmoins la peine, au cas où il vous resterait une once d’honnêteté, de vous rappeler quelques articles –dont un éditorial- paru dans Famille Chrétienne sur le sujet qui nous vaut vos inqualifiables attaques."
Philippe Oswald
Directeur de la Rédaction de Famille Chrétienne
[Suivaient les trois articles datés respectivement du 09 février 2008, du 16 février 2008 et 21 juin 2008]
Voici notre réponse :
Bonjour,
Vous ne répondez en rien aux remarques de notre collectif concernant la campagne de 2007, puis celle de 2009. Les trois articles datent de février et de juin 2008 (soit un an après les présidentielles de 2007 et un an avant les élections de 2009, nous remarquons d'ailleurs que le dernier article sur le non irlandais était déjà beaucoup plus ambigu), mais rien sur la période des élections européennes ! Par ailleurs, on est bien loin du dossier qu'aurait nécessité un sujet aussi fondamental.
En revanche, en rappelant ces articles, vous apportez la preuve que vous étiez bien au courant de la gravité des enjeux et implicitement vous vous condamnez vous-même. En effet, comment se fait-il que conscient de tout cela, vous n'en avez aucunement fait mention au moment opportun ? Tout au contraire, à moins de trois jours du scrutin des européennes, vous donniez pleinement la parole à M. Pöttering, président du Parlement Européen, pour qu'il exprime exactement le contraire et rassure vos lecteurs sur la compatibilité d'un vote chrétien en faveur du système !
Jusque là, nous avions imaginé que peut-être vous étiez contraint par des considérations financières à agir de la sorte, mais l'arrogance de votre message semble montrer que c'est de votre plein gré que ces déviances sont organisées. Votre responsabilité en apparaît d'autant plus grande.
Nous tenons donc à vous remercier pour votre mail qui a ainsi dissipé tout état d'âme de notre collectif sur notre action, même si d'autres témoignages, allant dans le même sens, nous avaient déjà confirmé le bien fondé de notre initiative.
Étant donné la gravité des faits, nous vous souhaitons de trouver en votre cœur cette once d'honnêteté que vous sembliez nous accorder afin que vous puissiez y prendre appui pour vous ressaisir avant qu'il ne soit trop tard.
Nous vous assurons de notre prière en ce sens. Nous serrions tous heureux de retrouver le journal qui nous à jusque là tant apporté et qui manque désormais.
Bien fraternellement,
Pascal Poutre pour le collectif
Vous ne répondez en rien aux remarques de notre collectif concernant la campagne de 2007, puis celle de 2009. Les trois articles datent de février et de juin 2008 (soit un an après les présidentielles de 2007 et un an avant les élections de 2009, nous remarquons d'ailleurs que le dernier article sur le non irlandais était déjà beaucoup plus ambigu), mais rien sur la période des élections européennes ! Par ailleurs, on est bien loin du dossier qu'aurait nécessité un sujet aussi fondamental.
En revanche, en rappelant ces articles, vous apportez la preuve que vous étiez bien au courant de la gravité des enjeux et implicitement vous vous condamnez vous-même. En effet, comment se fait-il que conscient de tout cela, vous n'en avez aucunement fait mention au moment opportun ? Tout au contraire, à moins de trois jours du scrutin des européennes, vous donniez pleinement la parole à M. Pöttering, président du Parlement Européen, pour qu'il exprime exactement le contraire et rassure vos lecteurs sur la compatibilité d'un vote chrétien en faveur du système !
Jusque là, nous avions imaginé que peut-être vous étiez contraint par des considérations financières à agir de la sorte, mais l'arrogance de votre message semble montrer que c'est de votre plein gré que ces déviances sont organisées. Votre responsabilité en apparaît d'autant plus grande.
Nous tenons donc à vous remercier pour votre mail qui a ainsi dissipé tout état d'âme de notre collectif sur notre action, même si d'autres témoignages, allant dans le même sens, nous avaient déjà confirmé le bien fondé de notre initiative.
Étant donné la gravité des faits, nous vous souhaitons de trouver en votre cœur cette once d'honnêteté que vous sembliez nous accorder afin que vous puissiez y prendre appui pour vous ressaisir avant qu'il ne soit trop tard.
Nous vous assurons de notre prière en ce sens. Nous serrions tous heureux de retrouver le journal qui nous à jusque là tant apporté et qui manque désormais.
Bien fraternellement,
Pascal Poutre pour le collectif